WISIGOTHIQUE (ART)

WISIGOTHIQUE (ART)
WISIGOTHIQUE (ART)

On ne peut aborder de façon satisfaisante la question de l’art wisigothique sans tenir étroitement compte des caractères particuliers de l’histoire même des Wisigoths, «nation» germanique longtemps errante et très vite coupée, de ce fait, de ses racines culturelles, à la différence de celle des Ostrogoths.

De l’Ukraine à la Gaule (milieu du IIIe s.-412)

De la division des Goths (vers le milieu du IIIe s. apr. J.-C.) à l’arrivée des Huns en Ukraine (375), il est impossible d’isoler un art wisigothique spécifique tant la civilisation des Wisigoths est intimement mêlée à celle de leurs parents ostrogothiques. Il n’en sera plus de même au lendemain des événements de 375. En effet, tandis que la plupart des Ostrogoths acceptent le protectorat des Huns et conservent leur stabilité géographique et culturelle, la majorité des Wisigoths quittent leur patrie pour pénétrer dans l’Empire, où ils erreront jusqu’au début du Ve siècle. Établis d’abord en Thrace, où ils triomphent à Andrinople de l’empereur Valens qui voulait les éliminer (378), les Wisigoths vont parcourir les Balkans jusqu’en 401, leurs raids destructeurs répétés étant entrecoupés de brèves périodes de stabilité géographique où ils apparaissent comme les fédérés de Rome (de foedus = traité). Menaçant à plusieurs reprises Constantinople, ils passeront ainsi en Mésie (rives méridionales du bas Danube), en Illyricum (ex-Yougoslavie) et en Grèce.

Après avoir ravagé les Balkans, les Wisigoths entrent en Italie en 401, où ils agissent de la même façon, mettant à sac Rome en 410 (depuis le partage de 395, la «Ville éternelle» n’était la capitale que de l’Empire romain d’Occident, Constantinople/Byzance étant devenue celle de l’Empire romain d’Orient). Les Wisigoths qui n’étaient pas parvenus à passer du sud de l’Italie en Afrique du Nord par la Sicile, décidèrent alors de pénétrer en Gaule.

Ces trente-cinq ans d’instabilité permanente furent incompatibles avec l’éclosion d’une expression artistique propre, ce que le silence des sources archéologiques paraît bien corroborer. Brutalement et durablement coupés du fonds culturel gothique, dont les Ostrogoths demeuraient les héritiers entre les Carpates et le Don, les Wisigoths empruntèrent aux pays traversés les éléments de culture matérielle dont ils avaient besoin (ce qui ne veut pas dire, compte tenu de leur cohésion nationale, qu’ils n’aient pas conservé des traditions, des coutumes ou des modes vestimentaires gothiques).

La «phase gauloise» (412-507)

À l’issue de quelques tentatives sans lendemain pour s’établir en Espagne et passer en Afrique du Nord, les Wisigoths, pour la première fois depuis leur départ d’Ukraine, se stabilisèrent dans le sud-ouest de la Gaule, où un foedus leur fut octroyé par Rome. C’est alors que se forma le «royaume de Toulouse», organisé par le roi wisigothique Théodoric Ier (418-451), qui périt aux champs Catalauniques en combattant les Huns aux côtés des Romains, des Francs et des Burgondes. Le roi Euric (466-484) poursuivit son œuvre, violant à plusieurs reprises le foedus afin d’agrandir son royaume dont les frontières furent repoussées jusqu’à la Loire et à l’Auvergne – la Septimanie (Languedoc-Roussillon) et la Novempopulanie (Gascogne-Béarn) ayant été conquises depuis 462 –, tandis que Rome confirmait le protectorat wisigothique sur l’ancienne province de Tarraconaise (Catalogne), en Espagne. C’était sans compter avec Clovis et les Francs qui, en 507, défirent à Vouillé les Wisigoths et leur roi Alaric II (484-507), «libérant» ainsi l’Aquitaine.

Il était tentant de rechercher en Aquitaine et en Septimanie les traces archéologiques laissées par les Wisigoths au cours de leur long séjour, que ce soit dans les campagnes, où ils bénéficièrent du régime de l’«hospitalité» (octroi des deux tiers des terres où ils s’établirent), ou dans les villes (leurs capitales de Toulouse et de Bordeaux ayant été, selon les récits contemporains, de brillants foyers de civilisation). Jusqu’à une époque relativement récente, on a eu tendance à leur attribuer l’ensemble des objets découverts dans les cimetières «barbares» du sud-ouest de la France, et notamment les très belles garnitures de ceinture de bronze rencontrées en grand nombre dans ces régions. Certaines recherches ont en fait démontré que ces objets étaient postérieurs au départ des Wisigoths et devaient donc être rapportés à l’artisanat de l’Aquitaine devenue franque. On a également voulu attribuer un peu rapidement aux Wisigoths, parce qu’elles étaient censées appartenir au Ve siècle, quelques rares fibules de type «gothique» découvertes en Aquitaine (G. Koenig, 1980), alors que leur chronologie s’avère plus ouverte et que leur stricte interprétation ethnique demeure douteuse (M. Kazanski, 1983).

Il faut donc se résoudre à admettre, dans l’état actuel des connaissances, que, durant leur séjour aquitain et septimanien qui a duré près d’un siècle, les Wisigoths ne se sont distingués des populations indigènes gallo-romaines ni par des coutumes funéraires propres, ni par une culture matérielle spécifique. Comme les Burgondes, au temps de l’indépendance de leur second royaume en Gaule (443-534), les Wisigoths vécurent «à la romaine», aussi bien dans les villes que dans les domaines ruraux où ils s’étaient répartis, n’ayant sans doute conservé à l’issue de leurs pérégrinations que de rares objets d’origine gothique, dont il n’est pas étonnant qu’ils échappent à l’enquête archéologique. L’archéologie confirme donc ici l’histoire, cette dernière témoignant de la romanisation politique et administrative des Wisigoths en Gaule qui, comme plus tard les Ostrogoths en Italie, demeurèrent des minorités dominantes et bien vite acculturées.

On a encore tenté de reconnaître les sanctuaires wisigothiques, enquête vouée à l’échec puisque les lieux de culte de l’arianisme n’avaient pas, comme on le sait, de dispositions architecturales ou liturgiques différentes de celles des églises catholiques. Il est par contre indéniable, ainsi qu’on l’a bien mis en évidence (E. James, 1977), que l’intermède wisigothique favorisa dans le sud-ouest de la Gaule la survivance brillante de la culture romaine tardive qu’illustre parfaitement la belle série de sarcophages aquitains en marbre décoré.

La «phase espagnole» (507-711)

Au lendemain de la défaite de Vouillé (Vienne) en 507, la plupart des Wisigoths quittèrent l’Aquitaine pour l’Espagne, ne conservant en Gaule que l’ancienne Septimanie romaine (Languedoc-Roussillon). La péninsule Ibérique ne leur était pas étrangère puisqu’ils avaient déjà tenté de s’y installer au début du Ve siècle, et qu’ils contrôlaient, depuis la seconde moitié de ce siècle, la Catalogne (ancienne province romaine de Tarraconaise). Les Wisigoths se regroupèrent dans le centre de l’Espagne, en Vieille-Castille, où le «royaume de Tolède» prit la succession de celui de Toulouse, dont il conserva l’essentiel des structures politiques et administratives, fortement marquées par l’empreinte de Rome. Il faut noter que les Ostrogoths, établis en Italie depuis 489, apportèrent alors un soutien décisif à leurs parents wisigothiques lors des premiers temps de leur «phase espagnole»: ils évitèrent ainsi le pire lors de la menace franque de 541 et des tentatives de reconquête par les Byzantins, notamment sous le règne de Justinien (527-565). Tandis que l’Italie ostrogothique s’effondrait (à partir de 552), mettant un terme à son influence en Espagne, le nouveau royaume wisigothique, devenu solide, étendit ses limites à l’ensemble de la péninsule Ibérique: le royaume suève (nord-ouest de l’Espagne) fut annexé en 585 et les réduits byzantins peu à peu supprimés au début du VIIe siècle (les Wisigoths ayant même pris pied en Afrique du Nord, à Ceuta, afin de contrôler le détroit de Gibraltar). L’Espagne wisigothique, qui avait abandonné en 587 l’arianisme à l’initiative de son roi Reccarède, connut alors une période de civilisation brillante (œuvre d’Isidore de Séville), stimulée par un nationalisme sans égal dans les autres royaumes «barbares» d’Occident. Des difficultés dynastiques, liées à des troubles sociaux et même raciaux (les Juifs étant accusés d’être des agents de l’Islam), favorisèrent en 711 la conquête de l’Espagne par les Arabes et consommèrent les deux siècles d’existence du second royaume wisigothique. Durant ces deux siècles, la Septimanie ne fut pas un trait d’union entre l’Aquitaine franque et l’Espagne wisigothique, mais contribua, au contraire, à les isoler, coupant le sud-ouest de la Gaule de la Méditerranée.

Alors que les Wisigoths n’avaient pas laissé, semble-t-il, de traces archéologiques spécifiques lors de leur séjour dans le sud-ouest et le midi de la Gaule, leur installation en Espagne s’accompagna de manifestations diverses (également constatées en Septimanie) dont on a pu retrouver les vestiges; ils pratiquèrent notamment l’inhumation habillée, parfois complétée par un dépôt de vaisselle. On ne peut manquer de s’interroger sur les facteurs qui présidèrent à la réapparition de cette mode funéraire, apparemment abandonnée par les Wisigoths depuis leur départ d’Ukraine en 375. Deux facteurs paraissent avoir été ici déterminants: d’une part, un contact avec des populations rurales ibéro-romaines qui avaient en partie conservé ces coutumes (ce qui n’était plus le cas pour les populations gallo-romaines d’Aquitaine au Ve siècle); d’autre part, bien qu’on les ait minimisées, les relations suivies, durant un demi-siècle, avec les Ostrogoths dont on sait que certaines couches de la population (femmes de l’aristocratie) pratiquaient l’inhumation habillée. Cette dernière influence, après le hiatus archéologique gaulois du Ve siècle, est d’autant plus plausible qu’elle explique les parallèles existant durant la première moitié du VIe siècle entre les modes vestimentaires féminines et les types d’objets de parure des Ostrogoths en Italie et des Wisigoths en Espagne et en Septimanie. Les conditions documentaires, il importe de le souligner, sont cependant fort différentes dans les deux territoires. Tandis que l’Italie ostrogothique n’a livré qu’un petit nombre de riches sépultures appartenant à l’aristocratie, nous laissant dans l’ignorance archéologique des autres couches de la population gothique, l’Espagne et la Septimanie wisigothiques ne nous sont pratiquement connues que par des nécropoles rurales d’où l’aristocratie paraît absente. Il semble en effet que cette dernière ait résidé dans les villes, où une acculturation rapide (déjà manifeste en Gaule) la conduisit à adopter les coutumes funéraires des populations urbaines, c’est-à-dire l’inhumation sans mobilier funéraire.

Un certain nombre de nécropoles rurales, dont la plus représentative est celle de Duraton (province de Ségovie), nous permettent ainsi de suivre l’évolution de la mode féminine en Espagne wisigothique, le site d’Estagel (Pyrénées-Orientales) illustrant pour la Septimanie ce faciès archéologique wisigothique. Durant le VIe siècle, la mode demeure typiquement gothique, les femmes portent deux fibules d’épaules et une garniture de ceinture à plaque rectangulaire. Aux grandes fibules «gothiques» en tôle d’argent, parfois rehaussées d’appliques de cuivre repoussé, succèdent progressivement des fibules ansées asymétriques à tête digitée (boutons, parfois chefs d’oiseaux à bec crochu) et pied triangulaire ou en losange allongé. Ces dernières, en bronze moulé, présentent un décor venu de fonderie qui imite la taille biseautée, avec des motifs géométriques simples, voire parfois, sous l’influence ostrogothique, des volutes et des rinceaux. D’autres fibules ont la forme d’un aigle dont le chef à bec crochu est de profil et le corps ailé de face: cloisonnés ou à décor géométrique moulé ou gravé, ces objets sont en bronze, et leur qualité, comme celle des fibules asymétriques digitées, est loin d’égaler celle de leurs homologues ostrogothiques, évidemment destinés à l’aristocratie et non à des populations rurales. Les garnitures de ceinture du VIe siècle, dont les plaques sont toujours rectangulaires, offrent une assez grande variété de techniques d’ornementation: cloisonné sur bronze, placage sur fer d’une tôle d’argent (parfois repoussée ou rehaussée de cabochons de pâte de verre), bronze moulé avec adjonction de bâtes en amande (avec verroteries simples ou cloisonnées) ou décor venu de fonderie et imitant la taille biseautée. La parure féminine est encore complétée par des boucles d’oreilles, des bracelets et des bagues de bronze de types simples, ainsi que par des colliers aux grains de verre. Des fibules en forme d’arbalète, de disque, de colombe ou de croix, toujours en bronze, sont à mettre au compte des productions ibéro-romaines et témoignent de l’acculturation progressive des populations rurales wisigothiques. À de rares exceptions près (sous influence franque à la fin du VIe siècle), le dépôt d’armes n’a pas été pratiqué dans les sépultures masculines, selon l’ancienne tradition gothique; par comparaison avec les mobiliers funéraires féminins, il semble cependant que la présence du couteau et d’une boucle de bronze simple (parfois complétée par une contre-plaque indépendante), ou de certains types de petites plaquesboucles de bronze dites «méditerranéennes» (à plaque ajourée ou nervurée), puisse être significative des tombes d’hommes.

Au cours du VIIe siècle, et jusqu’à la chute du royaume wisigothique d’Espagne, les dépôts funéraires se raréfient et ne comprennent guère que des boucles d’oreille et des bagues pour les femmes, et des plaques-boucles de ceinture imputables dans bien des cas au costume masculin. Deux types principaux existent: l’un est constitué par des plaques-boucles non articulées de bronze en forme de langue, avec un décor moulé ou gravé, parfois ajouré (hippogriffes buvant au canthare, lions ou hippogriffes affrontés); l’autre consiste en plaques-boucles de bronze articulées, à petite boucle et plaque festonnée longue et étroite, dont les compartiments (cartouches ronds, rectangulaires, en amande, etc.) offrent d’élégants motifs obtenus en fonderie. Dans les deux groupes, l’ornementation dénote une nette influence de la Méditerranée orientale, transmise par les établissements byzantins du littoral sud-est de l’Espagne (jusqu’au premier tiers du VIIe s.), et témoigne de la faveur des représentations symboliques chrétiennes (les Wisigoths devenant catholiques dès la fin du VIe s.).

Si les versions luxueuses de ces objets de la vie quotidienne nous échappent, quelques productions de grande qualité nous permettent d’imaginer le talent des orfèvres qui travaillèrent à la cour des rois wisigothiques et pour le compte de l’aristocratie urbaine. Ainsi la série de couronnes votives wisigothiques qui sont parvenues jusqu’à nous. L’ensemble le plus célèbre est celui qui fut découvert en 1858 à Fuente de Guarrazar (province de Tolède); il comprend une douzaine de couronnes enfouies vers 711, lors de l’arrivée des Arabes, et qui devaient être suspendues jusque-là dans la cathédrale de Tolède. De tels objets étaient en effet offerts à l’occasion d’une fondation pieuse (ils sont alors anonymes) ou lors de leur couronnement par les souverains: c’est le cas de deux des couronnes de Guarrazar qui portent les noms (lettres en pendentifs) de Svinthila (621-631) et de Reccesvinthe (653-672). Ce sont de remarquables pièces d’orfèvrerie: suspendues par des chaînettes simples ou à éléments filigranés et ajourés (parfois issus d’une suspension élaborée de type végétal), les couronnes sont constituées d’un bandeau richement travaillé en tôle d’or ajourée et filigranée, orné de perles et de cabochons en pierres précieuses; divers pendentifs en tôle d’or et pierres précieuses (alternant avec des lettres d’orfèvrerie cloisonnée dans le cas des deux couronnes royales) sont suspendus tout autour du bandeau, avec, dans certains cas, un pendentif central cruciforme, indépendant de la couronne qu’il traverse. De tels chefs-d’œuvre, équivalents des productions de l’Italie lombarde (par exemple de la couronne de Théodelinde à Monza), attestent que les orfèvres wisigothiques, malgré l’isolement relatif du royaume espagnol, parvinrent à cette parfaite maîtrise du style coloré qui marqua les cours «barbares» d’Europe occidentale à l’époque mérovingienne.

On ne saurait être complet sur l’Espagne et la Septimanie wisigothiques sans mentionner l’architecture civile et religieuse. Comme d’autres «nations barbares» établies dans l’ancien Empire romain d’Occident, les Wisigoths furent davantage amenés à utiliser et à transformer les monuments civils romains tardifs existants qu’à en construire de nouveaux. Le roi Leogivild s’imposa néanmoins comme bâtisseur, en édifiant à partir de 568 la ville fortifiée de Reccopolis (Cerro de la Oliva, province de Guadalajara), dont les fouilles ont révélé les fondations du palais et de l’église adjacente (le site ayant été abandonné au Xe siècle). Quelques rares monuments religieux espagnols de l’époque wisigothique sont parvenus jusqu’à nous sans grandes transformations et constituent, de ce fait, de précieux témoins pour la connaissance de l’architecture religieuse du début du haut Moyen Âge. Les plus célèbres d’entre eux sont les églises rurales de San Pedro de la Nave (province de Zamora), San Juan Bautista de Baños (province de Palencia) et Quintanilla de las Viñas (province de Burgos), édifiées au cours du VIIe siècle. Il s’agit de petits édifices au plan fort simple, sans abside et à l’appareillage très soigné, dont l’intérêt réside surtout dans le décor, qu’il s’agisse de frises géométriques (rinceaux, rouelles, etc.) finement sculptées ou de chapiteaux à haut tailloir coiffant des colonnes non engagées dans le mur des nefs. Deux des chapiteaux de San Pedro de la Nave offrent des représentations bibliques de grand intérêt (le sacrifice d’Abraham et Daniel dans la fosse aux lions), exécutées, comme les orants adjacents figurés sur leur corbeille ou les frises géométriques et végétales des faces de leurs tailloirs, selon une technique de fine taille en réserve, fort proche d’une gravure en bas-relief méplat. Le traitement de certains éléments sculptés, comme le panneau de Quintanilla de las Viñas, avec le Christ entre deux anges, n’est pas sans rappeler, par le hiératisme des personnages et le plissé des vêtements, des œuvres de l’Italie lombarde tel l’autel du duc Ratchis à Cividale, reflet de la même esthétique «barbare», comme d’ailleurs la monnaie wisigothique.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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